Schmitt Florian

Poirot et Japp discutaient pendant que je les observais dans le bureau. Japp racontait le récit de l ' atroce mort de Mr CLAYTON, il avait été tué avec un genre de couteau. Japp demanda à Poirot d'enquêter ,chose dit - chose faite. A ce moment - là Poirot m ' appela :Oui mon cher amis que voulez - vous ?
- Mon cher Hastings , la tisane ? Qu'en avez vous fait ?
- Je l ' ai jeté , mon cher.
- Tandis ce n ' est pas une grande perte, nous ne pouvons pas en dire autant de Mr CLAYTON, le pauvre homme.>>
Il se leva de sa chaise, prit son manteau noir et son chapeau, puis nous partîmes enquêter.
D'abord nous allâmes sur les lieux du crime, une tache de sang était pourtant bien visible. Le corps était enlevé, il avait été emmené à la morgue pour autopsie. Tous les deux, nous quittâmes l'appartement pour nous rendre à la morgue.
Poirot me demandait de venir avec lui voir le corps.
Le médecin lui dit :<<Hé, bien, il n'y a aucune trace de lutte, plusieurs coups d'un objet qui pourrait ressembler à un couteau, encore une chose le meurtrier est droitier, ce crime à mon avis est passionnel. Poirot intervint
- " Je n ' en doute pas."
Puis nous repartîmes rencontrer le major RICH pour le questionner.
Le major était revenu chez lui ,Poirot lui fit :<<Bonjour major ,quelle belle journée n ' est pas ?
- Oui remarquable ,mais que voulez - vous ?
- Oh rien de grave ,juste vous poser quelques questions.
- Oui ,euh ,allez - y.
- Que faisiez - vous au moment du meurtre ?
- J ' étais aller voir un ami dans le centre ville.
- Lorsque vous êtes rentré ,qu ' avez - vous fait ?
- Bien je suis arrivé ,j ' ai salué mon valet et je suis entré dans le salon ,mon valet avait trouvé le corps le lendemain.
- Et vous n ' avez rien touché ?
- Non absolument pas.
- Bon je vous remercie. Pendant que je suis là ,o&ugrave; pourrais - je trouver le colonel CURTISS ?
- Il doit être au <<British Coffee>> ,un café en ville.
- Je vous remercie. Au revoir.>>
Nous quittâmes sa demeure. Je commençais à m ' interroger à propos de ce major ,j ' étais persuadé que c ' était lui le coupable ,car il a une grande folie d ' amour pour Marguerite.
Poirot restait sceptique à ce sujet.
Nous arrivâmes enfin à ce fameux café ,puis nous vîmes le colonel assis seul à un table. Je voyais Poirot intrigué qui s ' approchait de lui à grands pas :<<Bonjour colonel CURTISS ,comment allez - vous ?
- Bien Poirot ,je vous remercie.
- Puis - je vous offrir un thé ?
- Volontiers alors Poirot quel bon vent vous amène ?
- S ' il vous plaît garçon n thé. Je passais par là ,puis je vous ai vu ,au fait puis - je vous poser une question ?
- Euh…, bien euh… oui allez - y.
- Que faisiez - vous à l ' heure du meurtre de CLAYTON ?
- J étais en train de finir mon travail ,remplir des dossiers ,tout cela.
- Savez - vous que lady CHATTERTON ,nous invite à prendre le thé demain à dix sept heures chez elle ,vous serez des nôtres ?
- Oui avec le plus grand plaisir ,merci de cette invitation. Au revoir Poirot.>>
Poirot se leva et moi de même. J ' étais sûr et certain maintenant que le meurtrier étais le major RICH.
Le lendemain Poirot et moi allâmes chercher le major à son domicile vers seize heures trente. Nous l ' invitâmes chez lady CHATTERTON de même que Marguerite. A dix sept heures précises ,nous sommes tous chez lady CHATTERTON. Tous le monde se disait bonjour et s ' installaient pour prendre le thé. A ce moment là Poirot intervint :<<Ah bonjour inspecteur Japp vous allez bien ,tenez prenez donc un thé. Pendant que j ' y suis ,j ' ai résolu l ' affaire du meurtre de Mr CLAYTON.>> Tous le monde était stupéfait. :<<Voilà le soir du bal chez le major RICH ,le meurtre était déjà commis. J ' ai examiné le corps et le médecin m ' a dit que le tueur était droitier ,or lors de la soirée ,je remarquais que le major tenait son verre de la main gauche ,donc ce n ' était pas lui ,par contre je vis le colonel tenir sa canne de la main droite ,ainsi que son thé ,hier après - midi , c ' est le colonel le coupable pour crime passionnel ,cette cicatrice au visage est celle du duel perdus pour Marguerite.>>
Le capitaine Japp prit ses menottes et emmena l ' homme en question.
Bien sûr j ' étais une nouvelle fois sur la mauvaise piste. Mais Poirot une enquête en plus de résolue.