Hincker Julien


 

On entendit toquer trois fois à la porte d'entrée. C'était Japp, Poirot se leva et dit : " Japp, vous prendriez bien une tasse de thé ! "
L'inspecteur Japp répondit : "je n'ai pas le temps, je dois prendre votre déposition M. Poirot . "
Poirot fut étonné par la visite de Japp, pensant que cela pouvait être le meurtre de Lady Clayton par son mari. Alors Poirot demanda à Japp, ce qu'il y avait et qui était mort. Et L'inspecteur Japp dit : " M. Clayton est mort assassiné, on a retrouvé son corps dans le buffet d'origine espagnole du Major Rich "
Poirot intrigué par cette mort mystérieuse, décida d'analyser les faits lui-même. Il alla à la résidence du Major Rich et analysa le buffet espagnol et vit un morceau de chiffon. Puis il continua sa lente prospection et trouvait un morceau de papier où quelqu'un avait commencé à écrire mais n'avait pas fini. Il était y était inscrit " Cher M Rich j'ai le regret de vous annoncer.. . Puis plus rien, la feuille était déchirée. Hercule décida d'aller voir la femme de M. Clayton. Celle -ci lui tint un long discours sur son mari qui n'allait pas bien depuis quelques temps, de son amant le Major Rich qui voulait à tout prix la séparation entre elle et son mari. Puis Poirot interrogea le Colonel Curtiss ; celui -ci décrivit la scène avec une précision à en couper le souffle. Poirot demanda à Hastings ce qu'il en pensait.
" Le coupable, Poirot, est évidemment le major Rich, toutes les preuves sont contre lui. "
Poirot, assez perplexe, n'eût pas l'air de prendre en compte ce que je venais de dire.
Quelques jours plus tard, Poirot rencontra Lady Chatertton et celle -ci lui donna un indice fort important. Elle lui raconta la discussion entre Curtiss et le valet Burgoyne. Elle entendit Le colonel dire au valet qu'il recevrait une petite gratification en échange d'un service. Mais elle n'avait pas pu entendre la suite. Poirot se demanda où se trouvait l'arme du crime, le médecin ayant examiné le corps avait dit avec certitude qu'il s'agissait d'un objet coupant, long et pointu, un couteau. C'est à ce moment -là qu'Hercule Poirot décida d'aller voir le valet. Sa tenue était toujours la même. Le facteur venait d'amener le courrier et le valet prit à ce moment -là un ouvre -lettres dans sa poche. Il ouvrit toutes les lettres avant de les déposer sur le bureau du major.
Poirot lui demanda alors s'il faisait cela tous les jours. Le valet répondit par l'affirmative. Poirot remarqua aussi un chiffon dans sa poche. Poirot avait trouvé la solution.
Le lendemain, Poirot avait réuni tout le monde chez le major Rich et dit : " j'ai trouvé la solution.
Poirot commença ses explications : " tout a commencé par la liaison entre le Major Rich et Mme Clayton que tout le monde soupçonnait. C'est à cet instant que M. Clayton voulut la mort du major Rich par jalousie et pour qu'elle ne le quitte pas. C'est pourquoi il se rendit chez Rich pour le tuer. Le majordome avait reçu des bons au porteur de la part de Curtiss, valant chacun 1500 livres pour tuer M. Clayton. Ce qui fut fait dans l'après -midi par le valet. L'arme du crime était un ouvre -lettres qu'à toujours le valet en sa possession. Quant au colonel Curtiss, il avait prémédité le meurtre car il était amoureux à en mourir de Mmme Clayton et il s'était battu en duel avec son mari et avait perdu.
Et le reste du mot de M. Clayton a été arraché car il disculpait entièrement le major Rich.